Seules à Berlin, de Nicolas Juncker (Casterman) — Retour sur une œuvre marquante de 2020 relatant le parcours de deux femmes de camps opposés mais que leur lutte individuelle pour exister dans un monde d’hommes va rapprocher, doublé d’un constat sur l’absurdité de la guerre.
Étiquette : guerre 39-45
Nuit noire sur Haarlem
L’Attentat, de Harry Mulisch & Milan Hulsing (La Boîte à Bulles) — En adaptant en BD le chef-d’œuvre d’Harry Mulisch, Milan Hulsing nous fait revivre cette période sombre que fut l’occupation nazie aux Pays-Bas. Dommage que la narration soit un peu en décalage avec un graphisme éblouissant.
Un récit rare mais un peu fastidieux
Le Rapport W – Infiltré à Auschwitz, de Gaétan Nocq (Editions Daniel Maghen) — Cette bande dessinée raconte un aspect méconnu de la seconde guerre mondiale : l’espionnage dans les camps de concentration. Witold Pilecki, officier de l’Armée secrète polonaise, décide d’infiltrer le camp d’Auschwitz en septembre 1940, sous l’identité de Tomasz Serafinski. Son objectif : monter un réseau de résistance afin d’organiser le soulèvement du camp, sans se douter de l’enfer qui l’attendait.
Les atroces clichés de l’horreur nazie
Le Photographe de Mauthausen, de Salva Rubio & Pedro Colombo (Le Lombard)
Le grand théâtre burlesque de l’exode
La Déconfiture, de Pascal Rabaté (Futuropolis)
Ma sœur Anne
Journal d’Anne Frank, d’Ozanam et Nadji (Soleil)
Le procès de la collaboration
Juger Pétain, de Sébastien Vassant & Philippe Saada (Glénat)
Céline sur la touche
La cavale du Dr Destouches, de Christophe Malavoy, Paul et Gaëtan Brizzi (Futuropolis)
Un P*tain de double jeu
Il était une fois en France, de Fabien Nury et Sylvain Vallée (Glénat)