Flower Power is really supérieur !

Le Poids des héros, de David Sala (Casterman) — David Sala, en se mettant dans la peau de l’enfant qu’il était dans les années 70, confronte ses propres souvenirs à ceux de ses aïeux héroïques. L’année à peine commencée, un chef d’œuvre est né !

Étoile mystérieuse

Soleil mécanique, de Lukasz Wojciechowski (Editions ça et là) — Cette BD expérimentale et étonnante a été conçue avec AutoCAD ! Au-delà de l’exercice de style, c’est l’histoire fascinante d’un architecte pulvérisé en plein vol par les nazis, alors qu’il s’apprêtait à toucher le « soleil »…

De la sororité dans la guerre des hommes

Seules à Berlin, de Nicolas Juncker (Casterman) — Retour sur une œuvre marquante de 2020 relatant le parcours de deux femmes de camps opposés mais que leur lutte individuelle pour exister dans un monde d’hommes va rapprocher, doublé d’un constat sur l’absurdité de la guerre.

Nuit noire sur Haarlem

L’Attentat, de Harry Mulisch & Milan Hulsing (La Boîte à Bulles) — En adaptant en BD le chef-d’œuvre d’Harry Mulisch, Milan Hulsing nous fait revivre cette période sombre que fut l’occupation nazie aux Pays-Bas. Dommage que la narration soit un peu en décalage avec un graphisme éblouissant.

Un récit rare mais un peu fastidieux

Le Rapport W – Infiltré à Auschwitz, de Gaétan Nocq (Editions Daniel Maghen) — Cette bande dessinée raconte un aspect méconnu de la seconde guerre mondiale : l’espionnage dans les camps de concentration. Witold Pilecki, officier de l’Armée secrète polonaise, décide d’infiltrer le camp d’Auschwitz en septembre 1940, sous l’identité de Tomasz Serafinski. Son objectif : monter un réseau de résistance afin d’organiser le soulèvement du camp, sans se douter de l’enfer qui l’attendait.

L’horreur muette

Le Rapport de Brodeck, tome 2/2 : L’Indicible, de Manu Larcenet (Dargaud)

Ma sœur Anne

Journal d’Anne Frank, d’Ozanam et Nadji (Soleil)