Mon oncle est un Martien

Tati et le film sans fin, d’Arnaud Le Gouëfflec et Olivier Supiot (Glénat) — Totalement à part dans le cinéma, Jacques Tati était un visionnaire qui savait raconter par l’image et avec humour comment le monde moderne nous éloignait de notre humanité. Arnaud Le Gouëfflec et Olivier Supiot nous livrent ici un hommage rafraichissant à ce héros du 7e art.

Histoires d’(h)O(mmes)

Pénis de table, de Cookie Kalkair (Steinkis) — Sept types enfermés dans une pièce et qui nous parlent de leur vie sexuelle. Ça ressemble à de la téléréalité trash, et pourtant c’est un peu plus que ça.

Le marchand de sable qui donnait des cauchemars

Environnement toxique, de Kate Beaton (Casterman) — Si la violence faite aux femmes est une réalité qu’il faut dénoncer, celle-ci prend son fondement dans la façon dont l’homme perçoit la femme socialement, un état de fait où cette autre forme de violence, non physique, n’en est que plus pernicieuse. Avec ce témoignage sensible et personnel, Kate Beaton brise le silence.

« Métal Hurlant » : le réveil du monstre

Métal Hurlant Magazine — Tel un phénix coriace, Métal Hurlant est sorti de son caisson cryogénique après plusieurs années de léthargie dans les soutes d’un vaisseau revenu des frontières de la galaxie. Il nous fallait absolument procéder à un examen approfondi des entrailles de la bête.

Le trépas est un trip

La Petite Lumière, de Grégory Panaccione (Delcourt) — Cette délicate quête métaphysique, d’une touchante tendresse, nous ramène avec douceur vers notre propre destinée. Nous mourons seuls, mais notre part d’enfance peut faire la différence et nous apporter la plus belle des consolations.

Dans le jardin des douleurs

Jheronimus Bosch, de Marcel Ruijters (Nouveau Monde Graphic) — Le jardin de Bosch était davantage peuplé de « diableries » que de délices. Les admirateurs du peintre hollandais seront très réceptifs vis-à-vis de cette étonnante biographie. Les autres sans doute un peu moins.